Votre mère, se réjouirais, maintenant que vous êtes devenue un grand homme et femme de distinction.


Votre mère se réjouirait de vous voir retourner sur le foyer qui vous a grandi. Pendant qu’elle mettait le bois pour allumer le feu, te voilà toi  le grand député qui est son enfant tu arrives tu t’incline dans ton costume tu mets aussi le bois, tu attise le feu, tu te mets à genoux et tu lui dis, maman, je t’aime.



Et si tu es au loin, ta mère se réjouirait de
recevoir quelques lignes de ta part. Elle ne parle pas français, pour que toi tu parles français. Elle s’est privée pour que toi tu soi. Et quand cette lettre arrive, ne sachant pas lire mais elle t’a fait étudier pour que toi tu deviens ce que tu es. Et si tu es proche, ta mère se réjouirais de recevoir de toi une caresse, un baiser de ta part sur sa joue vielle. Les mots qui viennent du cœur, maman je t’aime. La vraie mère, est un trésor pour ses enfants ; et quand vous voyez votre mère tous vous crier bienheureuse. 



La mère c’est elle qui t’a conçu sur son cœur. Pendant que tu sais une femme est enceinte, l’enfant est en dessous de son cœur. Ta mère t’a porté  dans son sein, elle a senti la douleur pour que toi tu aies la vie. Pendant qu’elle se promener à la maternité dans une douleur inexprimable, elle marchait, elle marchait, elle gémi. En arrivant à la maternité elle a été reçue par les accoucheuses.

Regarder comment vous êtes habiller aujourd’hui pour avoir cette honneur que tu as. Votre mère elle était aussi habillée, mais pour que vous sortiez, on l’a déshabillé. 



Elle est restée nu comme un verre de terre ; elle est montée sur le lit technique nu seul pour décider si tu sors ou non. Et pendant qu’elle traine, votre mère a reçu les coups par les accoucheuses et dit : Toi imbécile, tu vas tuer l’enfant. Votre mère, toi tu été à l’intérieure mais c’est elle qui avais subi les injures et être battu. Elle a reçu les coups ; le corps avec douleur a reçu le coup des aides accoucheuses. Et pendant ce temps, toi tu t’es déjà engagé pour sortir. Ça fait mal, c’est pénible comme un couteau dans la plaie mais elle n’avait pas quoi faire. 



Elle était là entrez la vie et la mort. Elle a dit : que je meurs mais mon enfant vivre. Même par mon enfant, mon nom continuera sur la terre. Elle a pris cette décision. Ta mère acceptait la déchirure de son corps, elle a perdu l’eau et le sang. Ta mère ; tout ça, pourque toi monsieur le ministre, monsieur le directeur, madame la directrice tu sois ce que tu es aujourd’hui. Elle a pris la décision, son corps avait été déchirée. Elle n’avait pas le choix. 



Elle a crié Ahhhh. Le corps se déchire et toi tu sors. Et quand tu sors, tu restes lié à son ombilie. Elle est nue, ayant une douleur incomparable. Etant lié à son ombilie, la nature t’enseigne quand tu grandiras, souviens-toi de moi, et on vient couper. Les premiers mains, la première quantique été celle de ta mère. 

Quand elle t’a vu, elle a oublier la douleur, elle a oublié les déchirures de son corps. On dit l’enfant a combien de Kg, 4Kg. Aujourd’hui je vous lance un défis, qui parmi vous pourra être capable de tenir une pierre de 4Kg dans sa mains pendant toute la journée ? Mais ta mère t’a gardé dans son sein avec ce 4Kg là pendant 9 mois et nuit.

 Au dedans, elle te donnait la nourriture au travers de son ombilie. Elle t’a allaité elle t’a gardé, mais pour lui dire merci, tu as mordit la tête de ses mamelles. Elle n’a pas réagi car tu es son enfant. Elle s’est dite, j’ai mis aussi une vie dans ce monde. A ce temps-là elle n’était pas encore sorcière.


Où est ta mère ? Aujourd’hui tu montres ta mère le talon. Tu lui jette les injures, tu crache même sur elle. C’est toi mon propre enfant qui m’outrage ? Si c’était un ennemie je le supporterais, mais c’est toi mon propre enfant. Si c’était même un adversaire, je me cacherais devant lui. C’est toi que je prenais comme mon confident et mon ami. Ensemble nous vivions dans une douce intimité. Alors en grandissant tu commence à m’injurier ? Non.

Chers enfants, chers hommes, chers femmes, que fais-tu de ta mère ? Elle est où et elle est dans quel Etat ? Tu étais la seule personne qui devrait rendre à ta mère ce que tu avais reçu d’elle.

Commentaires